Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

approche systémique - Page 9

  • Abandon

    Revisitons ce que nous avons  abandonné car nous n’avons pas correctement appréhendé ce qu’était l’approche systémique et surtout la « finalité » de ce groupe qui est de sortir de 40 ans d’abandon et de renoncement par ceux qui dirigent la France.

    Nous avons fait un  travail de débroussaillage et compte tenu du contexte passé, il n’était pas possible de faire mieux … la prise de conscience n’était pas dans l’atmosphère !

    Le beau temps  reviendra !

    Tout ce que nous avions pu faire c’était sensibiliser et corriger certaines dérives, un positionnement anti Juifs, anti Sionistes, anti globaliste de certains… par exemple !  Il faut donc se recentrer sur la ligne directrice initiale.

    Revoir par exemple ce que signifient l’approche systémique, la notion de complexité, d’organisation, de régulation, de rétroaction, de contrôle et de remédiation, le principe de subsidiarité, et revoir notre positionnement sur les questions métaphysiques.
    La question principale consiste à appréhender correctement l’idée que deux projets se font face :

    1) Le Dieu de l’Islam doit faire régner sa loi sur la terre entière, soumettre les hommes ou disparaître.
    2) L’Homme doit devenir son propre Dieu où disparaître en tant qu’individu raisonnable et agissant pour son propre compte.

    Ce qui est très mal parti, pensent les « Savants » musulmans, c’est l’idéologie fondée sur l’autonomie de l’homme et le pouvoir de la raison ; idéologie débutée avec le protestantisme, atteignant son apogée au siècle des Lumières et aboutissant à la Révolution.
    Jean Baudrillard l’explique très bien à partir de sa notion de « singularité » et il nous averti depuis bien longtemps du danger que cela représente pour les nations occidentales. Tout en s’y soumettant. « La seule manière de résister au mondialisme, écrit t-il (en 1973) c’est de pratiquer la singularité de l’islam. Né en 1929 après la première grande crise de la modernité, j’espère vivre assez longtemps pour assister à son tournant catastrophique avant la fin du siècle ». Il pense au XX eme bien sur !

    Cette défaite en cours de la pensée encore dominante est-elle effective ? Là est la question ! Je considère que sur le sujet, s’accrocher à ses opinions personnelles ne sert à rien et c’est gênant car çà nous empêche d’appréhender l’opinion des autres correctement. Et si nous la « comprenons »  correctement il nous est possible d’en déceler les contradictions et de l’influencer.

    La démocratie directe, qui à mon sens va se positionner très vite en opposition à la démocratie participative  ne peut s’exprimer qu’à cette condition. C’est une piste qu’il convient d’explorer rapidement et qui passe par les réseaux sociaux, des groupes et des pages comme les nôtres.

    Il y a un suicide général qui est celui de l’Occident. Suicide économique, démographique et surtout spirituel ; et c’est ce dernier qui ne passe pas dans les nouvelles générations qui ont plus que jamais besoin de sens. Un sens qu’ils ne trouvent plus dans l’Humanisme laïc qui, il faut bien le dire, ne fait pas beaucoup d’effort de « communication » et de prosélytisme contrairement à l’Islam. Les Chrétiens redressent bien la tête en ce moment, mais il semble qu’il soit un peu tard et que les autorités religieuses hésitent à engager le combat contre l’Islam sur ce terrain.  

    Que pouvons-nous faire ?

    Cesser de prendre l’effet pour la cause, inverser ou rompre le déroulement rationnel des choses, car il n’y a plus de causalité, il y a un brouillage des connections et il faut les « débrouiller ».
    Retrouver une pensée radicale qui n’est plus critique et rationnelle, qui égare et déstabilise notre jugement.
    Constater que l’islam est associé avec la gauche multiculturaliste malgré des différences idéologiques profondes comme par exemple l’avortement, le mariage gay, la place des femmes. Ce rapprochement est donc stratégique et il faut espérer que la gauche se réveille et prenne enfin conscience du danger… ce n’est pas gagné !
    Constater également que le libéralisme mondialiste économique, guerrier, financier est aussi en cohérence avec l’Islam des Saoudiens, des Qatari etc…et que leurs objectifs se rejoignent au sommet de la pyramide…les deux n’ont déjà pratiquement plus besoin des « masses ». Seulement de chercheurs, d’universitaires, de quelques techniciens de très haut niveau,  d’artistes et  d’artisans géniaux capables de leur fabriquer des objets uniques. Et pour un temps de quelques domestiques, le temps que la robotisation intelligente  de leurs demeures et de leurs objets se généralise.
    Constatons enfin que le projet Islamiste est en mesure de se réaliser et qu’il faut lui barrer la route, se soumettre ou disparaître.
    Considérons notre groupe comme un cerveau dont nous sommes les neurones et faisons en sorte que ce cerveau (cette gestalt) soit en relation avec d’autres cerveaux et construise avec eux un univers relationnel conscient de sa relation, agissant et efficace.

    Nous pouvons, sans passer nécessairement par la case d’un Dieu unificateur antagoniste du Dieu de l’Islam ...Chrétien, Juif, etc…  reconnaître que l’Islam s’adresse avant tout à un public d’humanistes athées, agnostiques ou écologistes. Envers eux, l’Islam a un discours bien rodé. Pas nous ! Nous sommes Chrétiens, Juifs, Athées et autres, confus, divisés et inefficaces. Constamment en train de nous « tirer dans les pattes !

    La question qui se pose est donc : L’islam est il appelé à dominer le monde et la civilisation Occidentale condamnée ?
    Je disais que l’islam, qui a pour finalité de « purifier le monde »,  comme le communisme, doit être universel ou ne pas être. Il doit être dans notre finalité de l’en empêcher, ensemble et universellement : agir local tout en pensant global comme disent les systémiciens.

    Commençons, ici et maintenant, sur ce groupe, ce blog à créer une relation TOTALE entre tous les opposants au projet « mondialo-islamo-gauchiste ». Nous pouvons créer un « graphe de liaison » entre individus « actifs », « libres » et « responsables », « interagissants » qui ne passe pas nécessairement par Dieu contrairement au projet Islamiste.

    L’approche systémique et le Web 2.0 sont bien les outils qui peuvent nous aider à gagner cette « guerre » qu’il n’est pas nécessaire apparemment de mener uniquement sur les champs de bataille…bien au contraire.

    Je compte sur vous pour critiquer le concept et le développer sur le terrain s’il vous convient.

    Francis NERI

    14 01 15

     

  • Problématique

    La première signification de la notion de système c’est que ses éléments, étroitement reliés, chacun orienté vers un but, interagissent entre eux.

    L’analyse systémique étudie les éléments du système, qui sont eux-mêmes des sous systèmes, afin d’appréhender les buts individuels dans l'objectif de les rendre cohérents entre eux afin d’orienter le système qui les englobe vers une finalité commune.   

    Ces éléments sont donc interdépendants. Mais au sein par exemple d’une organisation, qui est un système comme un autre, ses éléments ne poursuivent pas toujours le même but, ce qui rend ingouvernable cette organisation « désorganisée » et chaotique.
    L’analyse systémique commence par l’identification des éléments « acteurs » et « moteurs » d’un système c’est la phase d’observation.
    Par exemple si l’on veut observer les éléments moteurs du système politique français de gouvernance afin de déterminer l’avenir du pays, il va falloir faire un choix et distinguer les systèmes les plus signifiants : les principaux partis, mais aussi les principales institutions (justice, éducation, police, médias etc.…) et jeter un œil sur les systèmes externes…l’UE, la Russie, l’Amérique etc.… ! 

    Nous percevons déjà la première complexité car si nous voulons examiner un ensemble « en mouvement » et en interaction nous allons devoir traiter une masse d’informations considérables. Il va nous falloir faire des choix et ne traiter que les sous-systèmes ayant déjà produits une « information » vérifiée et « utile » (méthode baysienne : L'inférence bayésienne est une méthode d'inférence permettant de déduire la probabilité d'un événement à partir de celles d'autres événements déjà évaluées).

    Ensuite, nous avons à examiner les « relations » entre les sous systèmes et percevoir quels sont leurs buts, vérifier la compatibilité avec les buts de l’ensemble afin de « remédier » en aval (prospective) aux dysfonctionnements inévitables.
    La troisième étape consistera à modéliser une gouvernance acceptable pour tous …et la mettre en œuvre dans la quatrième !

    Le moment de crise mondiale que nous subissons est propice à cette forme d’analyse et au renversement de la gouvernance actuelle.

    Pour ma part, après avoir fait une première analyse…et il faut savoir qu’il faut la refaire en permanence…j’en suis sorti épouvanté …j’ai recommencé, remplacé des informations par d’autres plus récentes et dont le « signal » signifiant semblait plus « faible »…alors j’ai adhéré au Front National en espérant promouvoir cette approche en son sein…lui seul à mon sens peut parvenir à résoudre l’équation …à la condition expresse  que la cohérence des buts soit acquise et qu’elle perdure jusqu’à la victoire… au moins.

    Il faudrait donc prescrire les comportements qui sont contraires à ceux qui créent les blocages.
    Dans le cas contraire, et c’est un peu ce qui se passe en ce moment, ce parti comme les autres ira à l’échec et il en sera terminé de notre « système » : les mondialistes, les multiculturalistes, les immigrationistes, les atlantistes, les gauchistes et les islamistes auront gagné !

    Une autre organisation sortira du chaos…mais pas la nôtre !

    Si quelqu’un parmi vous à de l’influence auprès de Marine Le Pen qu’il fasse passer le message…çà urge !


    Francis NERI
    29 12 14         

  • S’élever pour mieux voir

    Reliez pour mieux comprendre, vous verrez la lumière avant les autres et vous pourrez distinguer l'essentiel pour agir aux trois niveaux de responsabilités : individu, groupe, espèce.

    Apprendre, découvrir, être libre. Pour survivre, nul n’est besoin de la mauvaise soupe que nous servent les enragés de la « croissance » mondialisée. Nul n’est besoin de fabriquer en série de nouveaux consommateurs…halte à la croissance vous dis je !

    A commencer par la croissance démographique.

    Dans ce monde encombré, beaucoup de ceux qui naissent aujourd’hui ne serviront à rien dans un avenir de plus en plus proche. Ils seront logiquement « effacés » plus ou moins proprement.

    Pour notre sauvegarde en tant qu’individu, groupe et espèce, nous devons apprendre à relier les « évènements » pour mieux comprendre vers quoi nous sommes conduits.

    Et inutile de chercher un complot ni même un plan concerté à cette folie…ce serait d’ailleurs un moindre mal et préférable au monde livrée à ses interactions et rétroactions « positives » qui feront exploser ou imploser le système si nous n’y posons pas un régulateur, un thermostat global, qui oriente, contrôle et programme des « lâcher de pression » internes et externes.

    Certains pensent que ce thermostat existe et ils montrent leur Dieu du doigt : « C’est lui le grand régulateur, affirment ils » et il nous a donné le pouvoir de nous multiplier et d’imposer sa loi au monde » 

    Je crois que ces individus qui se réfèrent et « s’identifient » à l’inconnu et à l’insondable doivent être « écartés » au plus vite de toute forme de pouvoir au même titre que ceux, les « puissants » mondialisés, qui les utilisent et les manipulent à leur seul profit.

    Apprendre, découvrir, être libre …disais-je ! N’est ce pas le principal « devoir » de l’Homme une fois ces besoins vitaux satisfaits ?

    Et pourquoi faire, sinon distinguer dans le flux et le reflux « d’informations » qui nous submergent, celles qui sont pertinentes ? Ces « signaux » souvent faibles qui passent brusquement du vert à l’orange puis au rouge et que nous pouvons alors distinguer des « bruits » parasites pour agir avec efficacité.

    Nous avons à apprendre être libre et responsables, rester « maneuvrants » porter sur les choses, les gens et les évènements NOTRE regard et NOTRE main.

    Et une fois acquise, nous avons à transmettre et mettre en acte cette « in-formation » cette « mise en forme » comme disent les vrais « croyants ».

    Nous sommes de plus en plus nombreux à « penser » ce monde sous cet angle, mais nous n’avons pas encore fait école. Il faut en finir avec cette « solitude », persuader et convaincre à la gloire du vol dans la lumière, à ouvrir les yeux et à voir, tout simplement à apprendre chaque jour davantage, et prendre le cap par le travers du vent de terre sans se départir d’une complète maîtrise de soi.

    Rassemblons nous, apprenons à voler en escadrille, c’est ce que nous souhaitons pour notre communauté, ne restons pas cloués au sol dans la brume et la pluie…le prix de la liberté n’est jamais trop élevé.

    Francis NERI

    30 11 14